Parfois les résonances du monde se font entendre plus fortes
Les nuages n’y sont presque pour rien
Mais les faisceaux accourent de toutes parts
Et se rencontrent
En toi
Seulement, tu acceptes de tout contenir, sans rien retenir
Et le multiple s’accroît
En toi
Il désigne l’endroit à crocheter, le seuil qui ne t’appartient pas
De mille autres vêtu
Rien ne s’éloigne et tout s’assemble
Dans cette réfraction, celle que tu engages
Au-delà des langages et du
Vide
Qui n’existe pas
Car l’onde se déploie, pêle-mêle, de tous les corps de chocs et d’audace
Elle affuse comme chaque pluie d’entre-mots
Elle rétablit le contact des creux qui divergent
Et se propage, de tous champs, de tous rebonds et d’incandescence
Jusqu’à l’Autre.
Lire le Zist 24 dans son intégralité
Mofwazé l’Histoire – Sylvia Saeba
La Lettre et le Fer – Gregory Pierrot
Métasporas – Michael Roch
Refonder, Réparer, Relier – Adeline Rapon
Rester Barbare de Louisa Yousfi – Zaka Toto
Ce qui nous lie – Léa Dubreuil
Parfois les résonances du monde se font entendre plus fortes – Léa Dubreuil
Ils rêvent d’égalité – Michael Roch
Ma révolution – Eva Augustine
L’empathie est la clef – Ariel Kyrou
Pwan patjé’w – Sylvia Saeba
Tè Mawon de Michael Roch – Zaka Toto
Le doucinage de la Soup a pyé de Karine Gama – Aloha Sellin
Dialogue avec les ombres II – Dominique Aurélia
À l’horizon – Janloup Taïno Thaly